Mistra fut fondée en 1249 par Guillaume II de
Villehardouin. Il cherchait à construire une forteresse sur les
hauteurs du Taygète dans le but de protéger Sparte. C'était alors lieu
de résidence favori des
Villehardouin.
La ville sera ensuite cédée aux byzantins, en 1348 Mistra devient la capitale du Despotat de Morée, statut qu'elle conserve jusqu'à la chute de l'Empire byzantin. C'est le début d'une période de prospérité.
Sous le despote Théodore, Mistra est la deuxième plus grande ville de l'Empire après Constantinople. en 1460.
Mistra accueille la résidence du Pacha du Péloponnèse et compte alors 40 000 habitants.
Le commerce y est florissant, grâce notamment au développement de la production de soie. La reconquête de la ville par les Turcs est suivie d'une terrible répression contre la population qui diminue pour ne plus compter que 8 000 habitants.
Mistra reste turque jusqu'en 1822. Reprise par les Turcs une dernière fois en 1825, elle est rasée par Ibrahim Pacha et connaît alors un déclin irrémédiable.
À l'issue de la guerre d'indépendance, le roi Othon Ier de Grèce fait de Sparte la nouvelle capitale administrative des environs, où les derniers habitants s'établissent à leur tour.
Nous avons commencé la visite par le haut. Moins de monde.
A mi chemin demi tour et nous sommes redescendus en voiture à la porte du bas pour finir la visite
Du parking on rejoint une porte où est la billetterie.
Passé l'entrée et le billet acquitté, de suite une belle église : Celle de Sainte Sophie édifiée au XIV ème.
Grimpette et on se rend au château Franc:
De là belle vue sur Mistra
On redescend. Palais des Despotes, vaste bâtiment construit entre le 13 et le 14ème siècle, en restauration, son accès est interdit
le monastère de Pantanassa
Monastère fondé en septembre 1428. Il est encore occupé par quelques nonnes. Nous en avons vu une souriante.
L’entrée principale donne accès à une étroite cour, à gauche s’alignent des cellules monacales, en face des escaliers montent vers l’église dédiée à la Vierge Reine de l’Univers. L’église comporte de belles peintures.
Quelques offrandes à la vente...
le monastère de Peribleptos .
Il abrite une église encastrée dans la roche.
tour crénelée qui est sur le rempart.
la Metropole est la plus ancienne église (1291) ou cathédrale Saint Dimitr. L’église elle comporte de magnifiques fresques des 13 et 14ème le palais épiscopal abrite un musée.
une fontaine timbrée de l’aigle byzantin
une plaque en marbre au sol représentant un aigle à double tête, marque l'emplacement du couronnement de l'empereur Constantin XI
L’église elle comporte de magnifiques fresques des 13 et 14ème le palais épiscopal abrite un musée.
Le monastère de Vrontochion, construit au 13ème siècle.
Vontróchion était le centre culturel de la ville, des philosophes y enseignaient.
L’ensemble comprend deux églises, la plus ancienne, Sts-Théodore possède le dôme le plus grand de Mystras, supporté par huit arches,
Le monastère entouré d’un mur d’enceinte comprend un groupe de grands bâtiments et quelques ruines. A l’apogée de son existence, il était le plus riche monastère.
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La ville sera ensuite cédée aux byzantins, en 1348 Mistra devient la capitale du Despotat de Morée, statut qu'elle conserve jusqu'à la chute de l'Empire byzantin. C'est le début d'une période de prospérité.
Sous le despote Théodore, Mistra est la deuxième plus grande ville de l'Empire après Constantinople. en 1460.
Mistra accueille la résidence du Pacha du Péloponnèse et compte alors 40 000 habitants.
Le commerce y est florissant, grâce notamment au développement de la production de soie. La reconquête de la ville par les Turcs est suivie d'une terrible répression contre la population qui diminue pour ne plus compter que 8 000 habitants.
Mistra reste turque jusqu'en 1822. Reprise par les Turcs une dernière fois en 1825, elle est rasée par Ibrahim Pacha et connaît alors un déclin irrémédiable.
À l'issue de la guerre d'indépendance, le roi Othon Ier de Grèce fait de Sparte la nouvelle capitale administrative des environs, où les derniers habitants s'établissent à leur tour.
Nous avons commencé la visite par le haut. Moins de monde.
A mi chemin demi tour et nous sommes redescendus en voiture à la porte du bas pour finir la visite
Du parking on rejoint une porte où est la billetterie.
Passé l'entrée et le billet acquitté, de suite une belle église : Celle de Sainte Sophie édifiée au XIV ème.
Grimpette et on se rend au château Franc:
De là belle vue sur Mistra
On redescend. Palais des Despotes, vaste bâtiment construit entre le 13 et le 14ème siècle, en restauration, son accès est interdit
le monastère de Pantanassa
Monastère fondé en septembre 1428. Il est encore occupé par quelques nonnes. Nous en avons vu une souriante.
L’entrée principale donne accès à une étroite cour, à gauche s’alignent des cellules monacales, en face des escaliers montent vers l’église dédiée à la Vierge Reine de l’Univers. L’église comporte de belles peintures.
Quelques offrandes à la vente...
le monastère de Peribleptos .
Il abrite une église encastrée dans la roche.
tour crénelée qui est sur le rempart.
la Metropole est la plus ancienne église (1291) ou cathédrale Saint Dimitr. L’église elle comporte de magnifiques fresques des 13 et 14ème le palais épiscopal abrite un musée.
une fontaine timbrée de l’aigle byzantin
une plaque en marbre au sol représentant un aigle à double tête, marque l'emplacement du couronnement de l'empereur Constantin XI
L’église elle comporte de magnifiques fresques des 13 et 14ème le palais épiscopal abrite un musée.
Le monastère de Vrontochion, construit au 13ème siècle.
Vontróchion était le centre culturel de la ville, des philosophes y enseignaient.
L’ensemble comprend deux églises, la plus ancienne, Sts-Théodore possède le dôme le plus grand de Mystras, supporté par huit arches,
Le monastère entouré d’un mur d’enceinte comprend un groupe de grands bâtiments et quelques ruines. A l’apogée de son existence, il était le plus riche monastère.
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